I loved this story:
Partie de tennis
Finalement, je lui réclame son tee-shirt. Nous reprenons immédiatement la partie. Julien est au service et chaque fois qu’il lance la balle en l’air pour la frapper, je ne peux m’empêcher d’admirer les muscles de son torse qui se tendent et saillent sous la peau, luisants de sueur. Les abdominaux se contractent lorsque la balle claque dans le filet de la raquette. J’ai du mal à me concentrer, car ce spectacle me fascine. Cette fois, c’est moi qui suis en difficulté et je dois revenir à la marque si je ne veux pas perdre ce set. Je m’accroche. 5/2, 5/3, 5/4, 5/5, 6/5. Julien sent qu’il est en difficulté et met toutes ses forces dans la bataille pour enfin gagner le set en emportant le septième jeu.
— Cette fois c’est toi qui me dois un vêtement.
— Et que choisis-tu ?
— Compte tenu des difficultés que j’ai eues à gagner ce set, je choisis l’un de tes sous-vêtements. Je te laisse le choix.
Et quel choix ! Comment pourrais-je jouer au tennis sans soutien-gorge ? Ma poitrine a beau être ferme, je ne veux pas lui imposer la violence des secousses d’un match, alors, après un moment d’hésitation, je fais glisser mon slip le long de mes cuisses et je le remets à mon adversaire. Cette fois, je pense que c’est lui qui va avoir du mal à se concentrer. Nous reprenons la partie. Lorsque je sers, les deux bras en l’air, j’ai l’impression que ma jupe remonte jusqu’au niveau de mon intimité. Julien parvient à renvoyer la balle, mais je sens qu’il a du mal à se placer. Je suis certaine qu’il guette les mouvements de ma petite jupe. Je mène 4/1 et je suis certaine que le spectacle que j’ai offert à mon adversaire en me penchant pour ramasser une balle y est pour quelque chose.
Soudain le vent fait à nouveau son apparition, rafraîchissant nos corps couverts de sueur. Un souffle léger passe sous ma jupe et s’infiltre dans mon sillon, balayant ma toison d’une vague de fraîcheur que la sueur rend encore plus vive. Une émotion particulière me submerge. J’ai envie de me caresser, mais je ne le peux pas. Il faut continuer le match. Le vent n’a que faire de la partie de tennis et il continue à me harceler, courant sur la peau sensible de mes fesses et passant toujours plus haut à la jointure de mes cuisses. Je me surprends même à écarter légèrement les jambes pour mieux faciliter l’intrusion de celui qui est en train de me faire perdre mon match. Qu’à cela ne tienne, je suis de plus en plus soumise aux caprices espiègles de ce souffle frais et bienfaisant. La vue du torse nu de mon adversaire ne risque pas d’apaiser mon trouble, bien au contraire. Tout semble s’allier contre moi et la victoire va m’échapper. Je parviens à lutter quand même et revenir à la marque.
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